Photographies prises pour l'ONG Tostan lors de la première Déclaration Régionale pour l'abandon de l'excision et des mariages précoces et forcés en Casamance, Ziguinchor, Sénégal, Janvier 2013.

Les pratiques telles que l’«excision » et « les mariages précoces et forcés» répondent à une norme sociale à laquelle les communautés se conforment, bien que ces pratiques nuisibles à la santé constituent une violation des droits des femmes et des filles. Aujourd’hui, le taux d’excision au Sénégal est de 26%.

Dans les pays alentours, ce taux peut être plus élevé: il est de 99% en Guinée Conakry, 72% en Mauritanie ou encore 85% au Mali.

Les différents gouvernements ont mis en place des Plans d’Action Nationaux pour amener les communautés à abandonner ces pratiques.